Ce projet, associé au traitement du liquide provenant du site d'enfouissement de Coventry, est source d'une grande inquiétude en raison des substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées (PFAS) présentes dans ces eaux.
Ces composés sont connus pour leurs effets potentiellement nocifs sur la santé humaine à long terme. Ce qui inquiète grandement les résidents, et avec raison!
L'entreprise a l'intention de démarrer un projet pilote, espérant obtenir un permis du gouvernement du Vermont, malgré un moratoire actuel empêchant le transport de ces eaux vers le lac, en vigueur jusqu'en 2026.
Les citoyens, sous l'égide de « Memphrémagog Conservation » dirigé par Johanne Lavoie, et des experts comme Céline Guéguen de l'Université de Sherbrooke, demandent un moratoire permanent pour éviter tout rejet futur dans le lac Memphrémagog, principale source d'eau potable pour 175 000 Québécois.
Des incidents passés de rejets traités dans le lac et des niveaux élevés de PFAS renforcent ces craintes.
Les gouvernements du Québec et du Canada, bien que non disponibles pour des entrevues, ont affirmé travailler avec leurs homologues américains pour protéger le lac, rapporte Radio-Canada.
Pour en connaître davantage, c'est juste ICI.
Source: Radio-Canada | Violette Cantin
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