Catherine Lussier, du Front d'action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), souligne lors d'une entrevue à LCN que la crise du logement affecte toutes les régions du Québec. La recherche de nouveaux logements est donc plus difficile pour les locataires face à des hausses de loyer parfois importantes.
De plus, l'article souligne la baisse des taux de vacances et les défis auxquels les locataires sont confrontés, notamment en raison des relations parfois tendues avec les propriétaires après avoir refusé des augmentations de loyer.
Le tribunal administratif du logement (TAL) a estimé à 4 % l'augmentation pour les logements non chauffés, une première depuis plus de vingt ans.
Face à des hausses de loyer jugées injustifiées, le FRAPRU encourage les locataires à contester les augmentations qui dépassent le pourcentage recommandé.
Cependant, en plus de la rareté des logements, il existe d'autres raisons pour lesquelles les locataires pourraient hésiter à refuser une hausse de loyer.
« On le voit dans certains cas où les propriétaires vont par la suite être un peu plus méchants envers le locataire, où ils vont arrêter d'aller faire les réparations ou s'adresser différemment au locataire », affirme Mme Lussier.
Un sujet d'actualité qui suscite toujours beaucoup de discussions!
Source: YouTube
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