Nous avons tous observé ce phénomène et de nouveaux commerces, autrefois sans demande de pourboire, le sont devenus.
Il critique également la pratique croissante de demander des pourboires pour des achats simples au comptoir, par exemple, dans la restauration rapide, estimant qu'elle place une pression indue sur les consommateurs. Parfois, une telle situation peut vite devenir malaisante, comme refuser de laisser un pourboire quand une caissière le demande.
Mario Dumont appelle à une réflexion sur la distinction entre générosité et exploitation dans ce contexte. Il est vrai que le consommateur peut ressentir une certaine pression et succomber malgré ses convictions.
Est-ce qu'il devrait y avoir un encadrement clair concernant les commerces qui demandent des pourboires?
Est-ce que la suggestion de hausser les pourcentages est justifiée, selon vous?
Quelle est votre opinion sur cette évolution des pratiques de pourboires?
Pour lire l'article complet du journaliste c'est juste ici.
Source: MonFric
Crédit: Journal de Montréal | Mario Dumont
SONDAGE | ||
Est-ce que vous laissez un pourboire pour un service au comptoir? | ||
Oui | 434 | 14.6 % |
� l'occasion | 981 | 33.1 % |
Non | 1550 | 52.3 % |
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